domingo, 25 de septiembre de 2011

Edvard Munch s'expose au Centre Pompidou




Centre Pompidou


Edvard Munch est parfois considéré comme un artiste du 19e siècle, un peintre symboliste ou pré-expressionniste. Une idée reçue en fait aussi un artiste reclus, en proie à de violentes angoisses, dépressif, une âme tourmentée. L'exposition montre, à rebours de cette mythologie, que Munch était ouvert aux débats esthétiques de son temps, et qu'il a entretenu un dialogue constant avec les formes de représentation les plus contemporaines : la photographie,
le cinéma et le théâtre de son époque. Il ira jusqu'à faire lui-même l'expérience de la photographie et du film, osant des autoportraits qu'il est sans doute le premier à avoir réalisés, à bout portant, en tenant l'appareil d'une main : « J'ai beaucoup appris de la photographie, déclare-t-il. J'ai une vieille boîte avec laquelle j'ai pris d'innombrables photos de moi-même. Cela donne souvent d'étonnants résultats. Un jour lorsque je serai vieux, et n'aurai rien d'autre de mieux à faire que d'écrire mon autobiographie, alors tous mes autoportraits ressortiront au grand jour. » (Edvard Munch, interviewé par Hans Tørsleff, 1930)

Munch était pleinement « moderne », c'est la thèse que défend cette exposition que lui consacre le Centre Pompidou, avec cent quarante oeuvres, dont une soixantaine de peintures, cinquante photographies en tirages d'époque, des oeuvres sur papier, des films et l'une des rares sculptures de l'artiste. À travers neuf thèmes, elle présente un ensemble comme il a rarement été
possible d'en voir, associé à ses expérimentations photographiques et filmiques. Visite en neuf points 



REPRISES

Variantes, copies, autant de termes qui pointent un aspect essentiel dans l'oeuvre de Munch, c'est-à-dire la répétition d'un même motif. Décontextualisé, il s'apparente alors à un signe autonome. Il existe, par exemple, sept versions des Jeunes Filles sur le pont, sans compter les adaptations graphiques. Quelques chefs-d'oeuvre de sa période symboliste dialoguent aussi avec leurs reprises tardives, peintes souvent dans un style plus expressif où le contour se dissout et où la couleur s'intensifie.





Munch naît le 12 décembre 1863 à Loten, en Norvège, et grandit à Christiana - devenu Oslo après l'indépendance du pays en 1905. Le père est médecin militaire, à la morale puritaine stricte. 
La maladie et la mort écrasent son enfance. Sa mère succombe à la tuberculose en 1868, puis sa soeur Sophie. 





Une autre soeur souffre de dépression et son frère meurt quelques mois après s'entre marié. De ces tragédies naît la première toile dans laquelle le peintre, après une formation conventionnelle, s'efforce de s'en deganger : L'Enfant malade, de 1885, sujet sur lequel Munch est par la suite revenu plusieurs fois. L'oeuvre porte la trace du premier séjour de Munch à Paris, en 1885, le temps de s'intier à l'impressionnisme et de renoncer à l'exécution minutieuse exigée par le réalisme.
Edvard Munch est une proie de choix pour les biographes. Drames, scandales, violence, sexe et mort, rien n'y fait défaut. Le dernier ouvrage paru, celui de l'écrivain norvégien Atle Næss, est ainsi intitulé Munch, les couleurs de la névrose

Cette libération se poursuit à Christiana dans la deuxième moitié de la décennie, jusqu'au retour à Paris à l'automne 1889, grâce à une bourse accordée par l'Etat norvégien pour trois ans. Manet, Whistler, Gauguin, Van Gogh deviennent des références essentielles. Comme elles sont alors loin d'entre acceptées, Munch fait vite l'expérience de la réprobation, dans son pays natal, mais aussi à Berlin, où ses toiles, présentées à l'automne 1892, font  hurle. 
L'apaisement ne vient que progressivement, en grande partie dans l'isolement. En 1916, Munch achète une maison dans la campagne, près d'Oslo. Il y vit seul, ce qui ne l'empêche pas d ' exposer ,  de recevoir des amateurs et des admirateurs et de vérifier   que sa gloire résiste au temps. Il meurt durant la guerre, le 23 janvier 1944, à Ekely, près d'Oslo, non sans avoir légué à la ville un millier de toiles et 4 500 oeuvres sur papier qui ont formé le fonds du Munch Museum.




http://www.centrepompidou.fr

viernes, 23 de septiembre de 2011


Día de Muertos XXV
El Altar de Muertos es un elemento fundamental en el conjunto de tradicionesmexicanas del día de muertos, que consiste en instalar altares domésticos en honor de los muertos de la familia.
Para que el ritual en memoria de los difuntos se lleve a cabo es importante que aparte de todas los escalones coloques unos cuantos granitos de arroz en el camino del aserrín así purificas el alma del espíritu, la ofrenda contenga una serie de elementos y símbolos que invitan al espíritu y facilitan su viaje desde el mundo de los muertos.


Join us as we mark our silver anniversary exhibition in the Pilsen neighborhood! 
¡Acompáñenos para nuestro aniversario de plata en el barrio de Pilsen!

Are you interested in gaining a unique understanding into the Day of the Dead tradition?

Book a group tour
 today! Time slots are available during weekdays and weekends. Space is limited. 

Exhibition runs through December 11. La exposición cierra el 11 de diciembre.

To book your tour, call 312.738.1503 ext. 3842
www.nationalmuseumofmexicanart.org